Une seule grande case vers le ciel, processus de création – entre 2016 et 2017

Au printemps 2017, une fièvre soudaine de théâtre saisit le quartier des États-Unis.

Cette fièvre aura germé toute l’année précédente dans les rêves des habitants, la fureur de leurs paroles, tout un babel de babils, une grande prose poétique de la vie quotidienne recueillie par des comédiens collecteurs et réinventeurs d’histoires.
Ils auront raconté la vie, les naissances et renaissances, les images et les souvenirs, les langues et les cultures, les arrivées et les départs, les désirs et les fulgurances, les lumières et les ombres, les joies et les peurs, les plaisirs et les drames, l’habiter et le vivre ensemble, l’ordinaire et l’évènement, la cité et la famille, le chez-soi et le dehors, le proche et le lointain, le semblable et l’étranger…
Plusieurs foyers de contamination se déclarent : lors de «balades apaches» aux États-Unis, préparée pour les enfants des écoles / au cours de trois déambulations théâtrales à l’intérieur et à l’extérieur de trois immeubles / et, enfin, lors d’une célébration théâtrale des rêves de cités idéales au Nouveau Théâtre du 8e.

LE PROCESSUS :

Une seule grande case qui monte vers le ciel
Un projet de théâtre avec les habitants du 8e
De septembre 2016 à mars 2017, Vincent Bady propose des rencontres où chacun peut raconter une histoire, un témoignage, un souvenir sur un lieu du 8e arrondissement qui le touche. Cet ensemble de témoignages sera restitué par des comédiens lors d’une Petite case de paroles en décembre 2016 puis lors de déambulations dans le quartier des états-Unis et de la Nuit des cités idéales au printemps 2017.
Pour prendre contact avec Vincent Bady
vincent.bady@wanadoo.fr
04 78 78 33 30

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